Pièces de Théâtre - Comédies
LA BOÉTIE LIBERTÉ
Comédie de
Pascal BANCOU
Victor, un “djeune“, se réfugie dans la librairie de Jean, pour échapper à une bande qui le poursuit.
Jean, le libraire qui a l’âge de la retraite, se rend vite compte que Victor n’est pas là pour chercher de la lecture. En parlant avec lui, il apprend qu’il a quitté le collège et que sa chérie aimerait bien qu’il tente de passer son bac.
Jean propose à Victor de l’aider. Il lui donne un livre, les poèmes de Rimbaud, un écrivain-poète qui avait l’âge de Victor lorsqu’il a écrit ces pages.
Le lendemain, Victor revient. Sa petite copine a été impressionnée. Victor veut que Jean lui donne “la suite“. Hélas, ce n’est pas un feuilleton. Mais Jean a un autre ouvrage à proposer, également écrit par un jeune homme de vingt ans : Le Discours sur la Servitude Volontaire, d’Étienne de la Boétie.
Jean, le libraire qui a l’âge de la retraite, se rend vite compte que Victor n’est pas là pour chercher de la lecture. En parlant avec lui, il apprend qu’il a quitté le collège et que sa chérie aimerait bien qu’il tente de passer son bac.
Jean propose à Victor de l’aider. Il lui donne un livre, les poèmes de Rimbaud, un écrivain-poète qui avait l’âge de Victor lorsqu’il a écrit ces pages.
Le lendemain, Victor revient. Sa petite copine a été impressionnée. Victor veut que Jean lui donne “la suite“. Hélas, ce n’est pas un feuilleton. Mais Jean a un autre ouvrage à proposer, également écrit par un jeune homme de vingt ans : Le Discours sur la Servitude Volontaire, d’Étienne de la Boétie.
RESTONS FRÈRES
Comédie de
Pascal BANCOU et Pierre DUBREUCQ
vaincre le fanatisme religieux par la caricature a fait partie de notre histoire de France bien avant les années 2000…
Ridiculiser l’extrémisme, ça marche mais c’est dangereux.
C’est l’histoire de Restons frères, une pièce qui retrace la vie des frères Pithoux pendant la guerre de religion entre 1560 et 1595. L’un des frères, Pierre, écrit secrètement “La satyre Ménipée“, un description de la bêtise des fanatiques qui entourent les extrémistes catholiques du duc de Guise.
Nous allons suivre les frères Pithoux du massacre de Wamy jusqu’à l’entrée d’Henri IV dans la ville de Troyes (ville des Pithoux) après la Saint Barthelémy.
Henri IV a estimé que sa victoire devait autant à la satyre Ménipée qui avait ridiculisé les fanatiques, qu’à ses batailles.
Les rieurs et la moquerie étaient pour la première fois plus efficace que les canons.
Ridiculiser l’extrémisme, ça marche mais c’est dangereux.
C’est l’histoire de Restons frères, une pièce qui retrace la vie des frères Pithoux pendant la guerre de religion entre 1560 et 1595. L’un des frères, Pierre, écrit secrètement “La satyre Ménipée“, un description de la bêtise des fanatiques qui entourent les extrémistes catholiques du duc de Guise.
Nous allons suivre les frères Pithoux du massacre de Wamy jusqu’à l’entrée d’Henri IV dans la ville de Troyes (ville des Pithoux) après la Saint Barthelémy.
Henri IV a estimé que sa victoire devait autant à la satyre Ménipée qui avait ridiculisé les fanatiques, qu’à ses batailles.
Les rieurs et la moquerie étaient pour la première fois plus efficace que les canons.
NEXT
Comédie grinçante de
Pascal BANCOU
Lorsque Marge refuse d’aborder un sujet de conversation qui lui déplaît, elle coupe la parole et dit “Next“
Véritable tyran domestique, cette femme “artiste“ ne s’intéresse qu’à la création, la sienne, et ne pardonne rien à ceux qui ne partagent pas son point de vue.
Alors qu’elle prépare une exposition, son fils unique qui vient de sortir de prison revient chez elle, c’est-à-dire chez lui aussi.
Marge n’a jamais considéré qu’il était chez lui chez elle…
Véritable tyran domestique, cette femme “artiste“ ne s’intéresse qu’à la création, la sienne, et ne pardonne rien à ceux qui ne partagent pas son point de vue.
Alors qu’elle prépare une exposition, son fils unique qui vient de sortir de prison revient chez elle, c’est-à-dire chez lui aussi.
Marge n’a jamais considéré qu’il était chez lui chez elle…
NO MORT
Comédie de
Pascal BANCOU
Lorsqu’il entend sur son radio-réveil l’annonce très officielle de sa mort, le professeur Jacques Warnier, du Collège de France, croit à un canular de son fils.
Mais tout le monde autour de lui croit à cette mort, sauf lui bien évidemment, car il se sent bien vivant.
Il a beau l’affirmer et le répéter, on le regarde comme s’il avait perdu la raison : il nie l’évidence.
LA SÉLECTION
Comédie de
Pascal BANCOU
L’entreprise va être dépecée. On évalue les employés par petits groupes pour les virer ou les recaser.
La personne qui tranche avant de couper les têtes est une sorte de coach qui n’hésite pas à secouer le cocotier, comme si ces salariés étaient des noix de coco.
Il les pousse à bout. Il n’a pas peur d’aller trop loin.
C’est ça, l’entreprise, aujourd’hui !
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